Le Portail de Djibouti, Somalie, Ethiopie
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Période vers
l'indépendance
Les 25 et 26 août 1966, le
général de Gaulle, chef de L'État français en visite à Djibouti est
accueilli aux cris de Indépendance par la foule venue l'acclamer ; et
brusquement le 26 au soir, la Légion Étrangère intervient brutalement
contre les manifestants, il y a plusieurs dizaines de morts et de
nombreux blessés. Le général de Gaulle ne parait pas en public et
quitte Djibouti dès le lendemain.
De nombreux Djiboutiens interrogés sur ces
événements vous diront qu'il y a eu un gros malentendu. D'après eux, la
foule était réellement venue acclamer De Gaulle qu'elle tenait en haute
estime et qu'elle croyait porteur de promesses d'indépendance et encore
à l'heure actuelle personne ne comprend la réaction dure qui a suivi.
En 1967 à la suite d'un référendum, le pays
de Djibouti est appelé Territoire français des Afars et des Issas
(TFAI) et ses structurés gouvernementales modifiées mais toujours sous
la tutelle française.
Une
prise de conscience nationaliste se développe dans le pays, non sans
heurts et difficultés, elle devient bientôt irréversible.
Trois
noms devaient s'imposer à cette occasion : Mahamoud
Harbi, Hassan Gouled et Mohamed Kamil.
En 1977 : le territoire français
des Afars et des Issas devient la République de Djibouti
Cependant, dès 1958, parallèlement au processus de
décolonisation engagé par la France dans l’ensemble du continent
africain, des mouvements indépendantistes voyaient le jour, dont
l’action s’intensifia progressivement jusqu’au référendum organisé le
19 mars 1967.
Cette consultation, aux résultats contestés, aboutit à un changement de
structures sans remettre en cause l’appartenance de Djibouti à
l’ensemble français.
La Côte Française des Somalis devenait alors le Territoire Français des
Afars et des Issas.
En 1975, le mouvement, déjà ancien, favorable à l’indépendance,
s’amplifia, et la totalité des partis politiques militant
officiellement pour l’accession à la souveraineté nationale, le
gouvernement français, par la voix du président de la République
française, reconnaissait le 31 décembre de cette année « la vocation de
Djibouti à devenir un État ».
Le 08 mai 1977, à une écrasante majorité, la population optait pour
l’indépendance, qui était proclamée moins de deux mois plus tard, le 27
juin 1977.
L’ancienne Côte Française des Somalis et l’ancien Territoire Français
des Afars et des Issas devenaient la République de Djibouti. Monsieur
HASSAN GOULED APTIDON était élu démocratiquement premier Président de
la République, chef du gouvernement, à l’unanimité par les membres de
l’Assemblée nationale.
En avril 1999, Monsieur ISMAËL OMAR GUELLEH
devient le Deuxième Président de la
République de Djibouti.
ETHIOPIA
Vers 3ème siècle avant notre ère
à la chute du Négus en 1974
« Première synthèse sur l'histoire de l'Éthiopie
accessible à un large public et aux francophones d'Éthiopie, cet
ouvrage analyse l'histoire de ce pays depuis la formation de l'État,
que développe la civilisation axoumite au début de l'ère chrétienne,
jusqu'à la veille de la révolution de 1974, qui a entraîné la chute de
la monarchie et une grave crise de l'État.
Par delà les interprétations idéologiques et politiques de
la période récente, il présente ce qui constitue la spécificité d'une
société qui s'est donnée très tôt les moyens de sa permanence.
Parmi les facteurs déterminants de la survivance de
l'entité éthiopienne, on compte l'écriture, qui a favorisé la
conservation de la mémoire et la religion chrétienne, religion d'État,
qui a été l'instrument de la légitimité et donc de la continuité
dynastique.
Ce qui caractérise aussi la société éthiopienne, c'est
assurément un syncrétisme politique et religieux, matrice d'une culture
nationale. L'intervention de l'Europe n'a fait, aux XVIe et XVIIe
siècles sur le plan religieux, et aux XIXe et XXe siècles sur le plan
colonial, que cristalliser cette identité nationale, sans couper pour
autant le sens de la fraternité chrétienne avec l'Occident et
l'aspiration au progrès.
Ainsi l'Éthiopie, dont on, continue à croire que c'est un
pays plus près du mythe que de la réalité, apparaît à travers ce livre
d'histoire comme une entité ouverte aux courants de pensée et aux
tensions du monde. » (présentation de l’éditeur)
Cet ouvrage présente une analyse pertinente, par-delà les
interprétations idéologiques et politiques de la période récente, de la
spécificité d'une société millénaire, souvent perçue entre mythe et
réalité. L'écriture, favorisant la conservation de la mémoire, est l'un
des facteurs déterminants de la survivance de l'identité éthiopienne
avec la religion chrétienne, véritable instrument de légitimité et donc
de continuité dynastique.
La société éthiopienne est en effet caractérisée par un
syncrétisme politique et religieux, matrice d'une culture nationale.
L'intervention de l'Europe n'a fait, aux XVIe siècle et XVIIe siècle
sur le plan religieux, et aux XIXe et XXe siècles sur le plan colonial,
que cristalliser cette identité nationale, sans couper pour autant le
sens de la fraternité chrétienne avec l'Occident et l'aspiration du
progrès.
L'auteur perpétue cette tradition de l'écriture en
proposant une étude historique richement documentée et un point de vue
subjectif d'un témoin privilégié sur l'histoire d'un pays, toujours
au-devant de l'actualité sur le plan mondial. Cette histoire, écrite en
français, s'adresse à un large public francophone de France ou
d'Ethiopie
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